Dewei est né à Pékin, capitale de la Chine, dans une famille très ouverte d’esprit. C’était une famille simple, aisée de Chine, mais qui avait aussi déjà connu son lot de surprise dans le passé. En effet, bien que banale, la famille avait déjà accueillie quelques sorciers. Surprenant pour une famille moldue, mais en effet ; Dewei n’était pas le premier. Et il ne sera sans doute pas le dernier. Son grand-père lui-même en est un. Alors, toute sa vie, comme le reste de sa famille, il avait toujours connu l’existence de la magie.

Le grand-père lui-même, savait que Dewei était un sorcier. Bien avant qu’il ne possède une baguette magique où que lui-même et ses parents ne s’en rendent compte. Au début, personne ne prenait le vieil homme au sérieux. Alors ils partirent faire un voyage, tous ensemble. Ils allèrent au Japon, tout ensemble. Là-bas se trouve l’école de Mahoutokoro, à flanc de montagne. Les moldus ne voient pas le château, qui est caché derrière les nuages. Mais Dewei lui, voyait le magnifique château, qui ressemblait d’avantage à un palais royal qu’à une école. Il décrit tout ce qu’il voyait à son grand-père, et c’est d’ailleurs avec satisfaction que  le plus vieux de la famille décida de rentrer.

À sa majorité, Dewei pouvait intégrer l’école de magie qu’il voulait, étant donné qu’il n’y avait pas d’école en Chine. Il passa ses deux premières années au Japon. Etant donné que Mahoutokoro est l’école où le Quiddtich est pratiqué, inutile de dire qu’en arrivant à Poudlard lors de sa troisième année, il était presque le roi. D’ailleurs, il a décidé d’aller à Poudlard pour le plaisir de découvrir l’école la plus célèbre du monde magique. Et le plaisir aussi d’y être étudiant. Sa motivation première était tout de même d’enfilé une simple robe noir avec son blason, plutôt que d’abord une robe qui change de couleur en fonction de sa propre évolution.

Dewei est un cas particulier, car il passa la cérémonie de répartition lors de sa troisième année, en même temps que les premières années. Ça a surprit du monde, bien entendu. Mais ça n’a jamais empêché Dewei de s’intégrer. « Poufsouffle ! » Cette maison lui correspondait bien, car il était d’une gentillesse infinie, sans pourtant être stupide. Il sentait que l’école allait lui plaire, et qu’il pourrait aller explorer les alentours quand il le voudrait. Il y a un tas de créatures magique dans le coin qu’on ne trouve pas en Asie, et ça, il ne risque pas de passer à côté.