Ici depuis le : 17/02/2017 Petits mots : 263 Petite tête : Kwon Jin Young (G Dragon) [ BIGBANG ] Schizo : Bloom Emma Statut de sorcier : Sang mêlé Nationalité(s) : Anglo-coréenne "Don" de naissance : Métamorphomage Etudiant en : Troisième Année Cours supplémentaires : Soins aux créatures Magiques et Divination Patronus : Un aigle Epouvantard : Un serpent lieu d'habitation : Second Room chez les Serpentards
Ma baguette : baguette magique en bois de ébène, mesurant, 22 centimètres, et contenant un crin de sombral.
Sweet Attraction | Ft. Slavski Zackary ϟ Ven 4 Aoû - 13:01
Sweet Attraction
Il était tard. L'heure du souper approchait. Assis dans un coin de la bibliothèque, des vieux grimoires ouverts, Alexander somnolait, sa plume encore en main. Il sortit brusquement de son demi-sommeil, baillant et regardant ses notes. Hum... C'était confus. Désordonné. Mais il avait bien avancé à ses yeux. Il soupira légèrement en voyant le bordel qu'il avait créé juste entre deux étagères. Il se redressa, rangea ses papiers dans son sac et puis ramassa les vieux livres, qu'il commença à ranger, voyageant de rayonnage en rayonnage. Il était rare qu'il passe autant de temps à la bibliothèque. Mais ce soir, il avait voulu prendre de l'avance pour un devoir à faire pour le cours de soin aux créatures magiques, son cours préféré. Il n'était pas un élève modèle loin de là, mais le cours où il se donnait le plus, c'était bien celui là.
Il refit un tour entre les étagères, après avoir rangé les livres qu'il avait sortit, avant de remarquer une silhouette au loin. Un de ses camarades. Il ne lui avait jamais vraiment parlé. Enfin. Si. Pour les cours qu'ils avaient ensemble uniquement. Il ne pouvait pas ne pas retenir son visage ou même son nom et prénom. Une chevelure aussi blonde ne s'oublie pas. Il était curieux de savoir ce qu'il faisait là.Travaillait-il aussi sur le devoir ? Sauf qu'il n'était pas le genre à aller déranger comme ça des gens.... Il remarqua juste un livre à côté du Gryffondor. Le livre qu'il cherchait. Et que l'étudiant ne semblait pas utiliser...
Alexander s'approcha et arrivé à sa hauteur : - Salut ! il indiqua le livre de son index avant de poursuivre ... je peux te l'emprunter ? Je le cherchais partout à vrai dire... Il fixa l'étudiant se trouvant devant lui. Il eut une impression étrange en croisant son regard, mais il n'y prêta pas encore attention.
Slavski Zackary ☽ Apprenti sorcier
POUR EN SAVOIR PLUS
Ici depuis le : 18/06/2017 Petits mots : 59 Petite tête : Lucky Blue Smith Statut de sorcier : Sang-pur. Nationalité(s) : Franco-Russe. "Don" de naissance : Vélane avec des pouvoirs limités dans le temps. Etudiant en : 3ieme année. Cours supplémentaires : Arithmancie & Etudes des Runes. Patronus : Husky blanc Epouvantard : Mon père. lieu d'habitation : 2 à Gryffondor.
Ma baguette : ma baguette est en bois de Acacia, elle mesure 36,5 cm et contient un cheveu de Vélane
Re: Sweet Attraction | Ft. Slavski Zackary ϟ Ven 29 Sep - 18:13
« sweet attraction ϟ Ft Alexander Wang. »
Assis près d’un arbre, dans le parc, lisant mon livre russe qui parlait d’une histoire d’amour plutôt compliqué et pleines de péripéties assez folles, je me rappelais quelques souvenirs, dont ce dernier par exemple… ; Combien de temps ou d’années, avaient-elles passées exactement depuis l’instant où j’avais cessé de grandir intérieurement ? Hein ? Je l’ignorais tant elles étaient nombreuses …Bien que je savais que je ne devais pas me torturer ainsi, je savais qu’il était grand temps que je grandisse et que je prouve à mon horrible père que son petit garçon ne serait plus son jouet à l’avenir, mais aussi, surtout que je prouve à tout le monde que mister Slavski Junior serait bientôt une fierté pour la famille si réputée de Russie. Pourtant, c’était parce que je me retrouvais seul dans cette salle de bain que toutes mes idées noires qui me tuait lentement et m’étouffait petit à petit face à ce miroir, finissaient par donner vie à mes songes les plus sombres. Je m’accrochais à ce rêve idyllique et éphémère que je m’étais fabriqué de toute pièce comme si c’était une bouée de sauvetage, comme si c’était mon dernier espoir pour ma propre survie intérieure, je ne voulais pas devenir taciturne, destiné à me conduire comme un zombie dans cette triste société corrompue. Je me devais de tenir le coup une dernière fois...même si tout me poussait au bord de l’agonie. J’étais à bout de nerfs et mes larmes continuaient malgré tout de s’écouler sur mes joues bien qu’épuisé moralement et voir même physiquement par les abus de mon père. Il me tardait de quitter cette maison, voir ce pays pour Poudlard alors que cette journée qui avait tout pour plaire en vue des beaux rayons de soleil, virait de plus en plus au cauchemar… Mon ventre se tordait tellement dans tous les sens que ça m’en donnait la nausée et des vertiges par-dessus le marché. Pourtant, rien qu’en jetant un coup d’œil dans mes affaires, il y avait bien quelque chose qui arrangeait un peu la situation, le seul objet qui est capable de me faire pousser des ailes et soulever des montagnes à la fois, fût la lettre d’admission dans cette prestigieuse école que j’appréciais fortement pour une fois. Le temps semblait si long pour devoir prendre ma douche, m’habiller et me diriger vers le nouveau véhicule dernier cri de mon paternel. Encore plus long aussi quand je me devais de faire la conversation avec lui et mère, le temps d’atteindre après de longues heures de conduite… le chemin de traverse. Le temps semblait si long que j’avais l’impression que les secondes ne passaient pas, que le temps se jouait de moi… Et encore aujourd'hui, j’ai l'impression que mes blessures et le mal qui m’empoisonne ne s’atténuera jamais avec le temps aussi. J’avais abandonnée l’idée de compter les minutes voire les secondes qui passaient et je ne me souvenais pas non plus de la date exacte à vrai dire, de quand toute cette machination machiavélique avait commencé. Je voyais mon si terrible père constamment tous les jours que ma folie gagnait du terrain dans ma tête, jusqu’à lentement me rendre dingue… dangereux… comme une rose. Si belle à l’extérieur et lorsqu’on vous approche de trop près, douloureuse et épinée comme pour montrer qu’on peut être nocif pour autrui s’il l’on ne fait pas attention à ce que l’on fait. L’horloge sur le mur dans le pub, le chaudron baveur, indiquait pas plus tard que midi que je me sentais déjà tellement nerveux, j’en profitais pour enfiler ma chemise blanche et ma cravate verte dans la salle de bain. Endroit où je dormais temporairement car mon « père » voulait faire des économies, disait-il. Me faisant tout aussi bien comprendre que la baignoire me servirait de lit, également, pour ce soir, le temps que je rentre à Poudlard. Tout en rangeant le mouchoir blanc dans la poche de mon pull, je fixais le miroir d’un air étrangement calme… Bien que dans quelques jours, j’allais fêter mes 11 ans… Je me sentais tellement différent des autres enfants de mon âge. Sortant dans le couloir froid et humide qui me donnait des sueurs froides, je me disais que si je n’avais pas été endurci par mes propres problèmes, j’aurais fui en courant tellement la peur guidait mes pas vers ce monde inconnu. Le temps que je posais ma main sur la poignée de la sortie de l’établissement, on m’interrompait en sentant une main sur mon épaule, me forçant ainsi à faire volteface et apercevoir mon père avec un regard des plus intransigeant. Encore des « menaces cachées » qui me forçait à déglutir en me disant, que je me devais encore de me tenir à carreaux, en public, disait-il souvent en ma compagnie. Lui qui pensait pouvoir arrêter et contrôler ma « folie », il allait bientôt perdre à ce jeu aussi. Ce n’est qu’une fois à l’extérieure, sous les regards des passants, sorciers de sang – pur, mêlé ou pire encore, que je m’évertue à offrir des sourires factices, afin de pas paraître grossier et mal-élevé, juste pour épater la galerie et m’éviter d’autres ennuies. Marchant en direction du marchand de baguette, je posais mon regard sur le coin du bâtiment avant de me mettre à regarder le ciel. Cette pointe de bonheur dans mon regard me faisait déjà frissonner de l’intérieur, égayant ainsi déjà ma journée pour quelques heures, tout au moins. Puis, arriva le moment dans le moment présent, où je me demandais comment une telle personne comme moi, si instable émotionnellement, avait fini par toucher le fond sans avoir aucun moment de bonheur, ni de tendresse. A force de réfléchir de la sorte, je relevais la tête, me disant qu’il fallait que je mette mes instants de plaisir de côté, que j’allais devoir travailler et bucher mes cours si je voulais obtenir de bonnes notes pour échapper un peu à l’emprise de « Vladimir ». Un sourire triste et mélancolique apparaissait par la suite, doucement sur mes lèvres, tandis que je soupirais tristement le temps de me redresser et me diriger vers la porte qui donnait sur le château… Puis, j’ai aperçu cette fille, cette même fille qui avait osé me tenir tête dans la salle commune de Gryffondor, quelques heures plus tôt, aujourd’hui. Cordélia Harcher d’après les rumeurs qui s’ébruite autour de moi. Ce n’est qu’en la voyant s’approcher de moi, que je finissais par complètement me tourner vers elle, me demandant encore ce qu’elle me réservait avant de soudainement comprendre la tournure des évènements. Des excuses et pas des moindres, elle essaye même de m’acheter avec de la patacitrouille et mieux encore, j’avais aucun contrôle sur « mon don ». De par son regard, je me demandais si elle se faisait vraiment pardonner ou si c’était moi l’investigateur de ce retournement de situation.
« Crois – tu que tu peux acheter mon pardon avec des bonbons ? Tu te trompes… »
Et dans un simple sourire plutôt calme d’apparence, je croisais mes bras devant mon torse, me raidissant un peu avant de regarder la jeune fille avec une pointe d’amusement, particulièrement amusée de pouvoir la défier de la sorte, sans même aucune délicatesse. Quelle belle pièce de théâtre ratée, dirons-nous, d’un côté, une poupée si jolie, mais si folle qu’elle est dangereuse, même pour elle… et de l’autre, un vélane qui n’est jamais pris au sérieux mais qui terrorise tout le monde et se fou du monde dans lequel il vit. Suite à cette réflexion, je ne pouvais restreindre un léger rire, trouvant la situation plutôt comique…Faisant ainsi volteface avant de me mettre à marcher en direction de l’immense porte de Poudlard…avant de rejoindre la bibliothèque au j'attrapais le lien parlant du soins sur des créatures magiques. M'attablant ensuite dans le coin lecture, espérant un être un peu tranquille. Ce qui fut de courte durée lorsqu'un jeune homme de la maison de Serpentard me tirait de mes rêveries en me demandant s'il pouvait emprunter mon livre, relevant la tête au même moment, juste pour le voir tout en abordant un simple sourire, bien qu'il était loin d'être "sincère"...
« Plutôt que d'emprunter... J'aurais besoin de ton aide, je comprends pas tout ce qu'il y est écrit... Dommage qu'il n'y est pas des livres russes, ici... Je comprends pas ce terme, d'ailleurs... Qu'est-ce donc qu'un Hyppo-gru..griffeus ? »
Ici depuis le : 17/02/2017 Petits mots : 263 Petite tête : Kwon Jin Young (G Dragon) [ BIGBANG ] Schizo : Bloom Emma Statut de sorcier : Sang mêlé Nationalité(s) : Anglo-coréenne "Don" de naissance : Métamorphomage Etudiant en : Troisième Année Cours supplémentaires : Soins aux créatures Magiques et Divination Patronus : Un aigle Epouvantard : Un serpent lieu d'habitation : Second Room chez les Serpentards
Ma baguette : baguette magique en bois de ébène, mesurant, 22 centimètres, et contenant un crin de sombral.
Re: Sweet Attraction | Ft. Slavski Zackary ϟ Mar 3 Oct - 12:08
Sweet Attraction
Il y avait quelque chose chez ce gryffondor... Alex n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Et bien que le blond lui sourit, il avait une impression bizarre, persistante. Comme s'il ne pourra pas regarder autre chose que lui, ou comme s'il ne pourra pas non plus aller ailleurs. C'était mitigé entre l'impression d'un possible danger, et l'impression que rien n'arrivera finalement, qu'il n'était donc que sous l'emprise d'une fascination mystérieuse. Pour quoi ? Ses yeux ? Ses cheveux ? Sa voix ? Il se reprit très vite, s'asseyant près de l'étudiant qui lui proposait de l'aider à travailler sur le bouquin plutôt que de lui prêter. A son accent, Alex devinait qu'il n'était pas tout à fait anglais. Il était cool son accent... Il s'efforça d'y faire abstraction : - Oh ! Eh bien, oui, pourquoi pas... Des livres Russes ? Alex fit rapidement le rapprochement avec son accent. Il prit le bord du livre le plus proche de lui et observa le passage que le russe ne comprenait pas. - ... L'hippogriffe ? C'est un animal, dont la tête est celle d'un aigle, et le corps celui d'un cheval.
Il avait à peine commencé, que sa passion ressortit subitement. Si l'étudiant avait du mal à comprendre le passage sur cet animal, il n'y aura pas de mal à lui expliquer ! - C'est un animal fascinant. A l'âge adulte ses ailes peuvent atteindre 4 mètre d'envergures, et il est très intelligent. Par exemple, il est capable de comprendre le langage humain et il a un sens très fort de la politesse. Il suffit que tu l'insultes pour qu'il t'attaque. C'est un animal assez dangereux en soi et dresser un hippogriffe c'est faisable mais c'est très long et seuls des sorcières et sorciers très compétents peuvent le faire....
Alex allait continuer sur sa lancée mais il se sentit soudainement embarrassé. - ... hum.. Pardon. J'ai du parler trop vite... Et tu as peut-être d'autres questions...